Midset & Pouvoir des pensées

Vos pensées créent votre réalité.

Ce que vous pensez, ressentez et croyez a un pouvoir immense : il façonne votre quotidien, vos relations, et même vos réalisations. Ici, nous explorons comment pour :

  • avec grâce (même quand la vie vous teste).
  • (parce que vous méritez de croire en vos capacités).
  • Créer une vie qui vous ressemble (en alignant vos pensées, vos émotions et vos actions).

Vos clés pour un mindset transformateur

  1. :

    • Comment identifier les pensées limitantes qui vous freinent (et les remplacer par des affirmations puissantes).
    • : Ce que la psychologie et les neurosciences nous apprennent.
  2. Outils pratiques pour un équilibre mental :

    • : Techniques pour accueillir vos émotions sans vous laisser submerger.
    • : Méditation, journaling, visualisation… Des outils simples pour un quotidien plus léger.
  3. Créer une vie alignée avec vos pensées :

    • Comment focaliser votre énergie sur ce qui compte vraiment.
    • : Des phrases et images qui transforment votre réalité.
    • : Comment passer de l’intention à l’action avec confiance.

Pourquoi c’est essentiel ? Parce que votre mindset, c’est :

  • : Il guide vos choix et vos actions, même dans l’incertitude.
  • : Une pensée positive peut tout changer (votre énergie, vos relations, vos résultats).
  • : Vous n’êtes pas prisonnière de vos schémas – vous pouvez les réécrire.

  • Bien vieillir après 40 ans : Le pouvoir de vos pensées

    Votre énergie ne dépend pas de votre âge, mais de la façon dont vous vous parlez.

    Depuis des années, j’accompagne des femmes actives, exigeantes, parfois épuisées par les transitions de vie – ménopause, changements professionnels, défis personnels. Leur question récurrente ? « Comment ne plus m’épuiser et retrouver ma vitalité ?» 

    La bonne nouvelle : la réponse est déjà en vous.

    Dans cet article, je vous explique :

    • Comment vos pensées influencent votre corps (et pourquoi c’est une opportunité, pas une contrainte).
    • 2 rituels simples à intégrer dès aujourd’hui pour retrouver légèreté et confiance.
    • Pourquoi les caps de vie (ménopause, reconversion…) peuvent devenir des tremplins – si on en change la perception.

    1- Comment vos pensées transforment votre corps :

    « Votre Cerveau est un Grand Illusionniste (et C’est une Bonne Nouvelle) »

    Le mécanisme clé : la neuroplasticité

    Votre cerveau est comme un jardinier zélé : il cultive ce que vous lui donnez à planter. Si vous ruminez « Je n’y arriverai jamais », il va renforcer les connexions neuronales liées à l’échec. À l’inverse, si vous visualisez « Je me sens forte et sereine », il active les zones liées à la confiance et à la vitalité.

    Les neurosciences le confirment : Votre cerveau ne fait pas la différence entre une expérience vécue et une expérience imaginée avec intensité. Preuves scientifiques : Une étude de l’Université Harvard (2021) a montré que 8 semaines de visualisation modifient l’expression de gènes liés au stress et à l’inflammation.

    Les athlètes de haut niveau (comme Léon Marchand ou Michael Phelps) utilisent cette technique pour préparer leur corps à la réussite avant même de plonger.

    Mes clientes qui appliquent ces outils dorment mieux, gèrent leurs émotions avec sérénité, et voient même leur posture se transformer – sans effort physique supplémentaire.

    2- 2 rituels pour retrouver légèreté et confiance

    « Des Outils Simples, des Résultats Profonds »

    Ces rituels sont au cœur de mon accompagnement Le Luxe d’Être Soi. Ils allient neurosciences, élégance et efficacité – parce que le bien-être ne doit pas être une corvée, mais une création quotidienne.

    Rituel 1 : la visualisation créatrice

    Comment faire ?

    Fermez les yeux et imaginez une scène où vous vous sentez rayonnante (ex : en train de savourer un moment de calme ou de présenter un projet avec assurance).

    Ajoutez des détails sensoriels (« J’entends les compliments de mes collègues », « Je sens la douceur de mon pull préféré »).

    Pourquoi ça marche ? Votre cerveau ne fait pas la différence entre cette scène et la réalité. Il commence à libérer des neuromédiateurs (dopamine, sérotonine) comme si c’était déjà vrai.

    Rituel 2 : l’écriture sensorielle (pour ancrer vos aspirations)

    Comment faire ?

    Décrivez votre journée idéale avec tous vos sens :

    « Je prends le café sur mon balcon, je sens le soleil sur ma peau, j’entends les rires de mes amies, je travaille de la maison… ».

    Pourquoi ça marche ? Cela active les mêmes zones cérébrales que si vous la viviez, et désamorce les peurs (ex : peur de vieillir, de changer).

    3- Les caps de vie comme tremplins

    « Ménopause, Reconversion… et si c’était des opportunités ? »

    Le paradoxe des femmes de 40+ ans : Beaucoup arrivent en séance en disant : « Je veux retrouver mon énergie d’avant. » Mais et si l’énergie d’avant n’était plus celle dont vous avez besoin aujourd’hui ? Et si cette étape était une invitation à réinventer votre vitalité, avec plus de sagesse et d’élégance ?

    Mon approche en 3 étapes :

    • Décrypter : Identifier les croyances limitantes (« À 50 ans, c’est trop tard »).
    • Réécrire : Utiliser des outils psycho-corporels pour ancrer une nouvelle histoire.
    • Incarner : Transformer ces changements en rituels d’art de vivre (ex : un bain aux sels de magnésium en visualisant sa journée).

    Pourquoi ça fonctionne ? Parce que bien vieillir après 40 ans n’est pas une question de combattre les changements, mais de les accueillir et de les vivre pleinenement.

    Et vous ? Quel est le premier petit pas que vous pourriez faire aujourd’hui pour réinventer votre énergie ?

  • Et si nos pensées créaient vraiment notre réalité ?

    Une Approche concrète pour transformer sa vie de l’intérieur (et non, ce n’est pas magique !)

    Introduction :

    « Nos pensées créent notre réalité. »
    C’est une phrase puissante, mais qui est trop souvent mal interprétée.

    Et non, cela ne signifie pas que l’on peut contrôler le monde extérieur par la seule force de l’esprit. Il ne s’agit pas de magie ni de pensée positive naïve. Il s’agit de conscience et de l’impact subtil – mais profond – que nos pensées ont sur nos comportements, nos décisions, nos émotions et donc, sur notre réalité quotidienne.

    Et si la façon dont nous pensons influençait directement ce que nous vivons ?
    C’est ce que je vous propose d’explorer ici.

    Ce que signifie vraiment « nos pensées créent notre réalité » :

    Nos pensées façonnent notre perception.
    Et notre perception influence nos réactions, nos choix, nos relations, nos opportunités.

    Prenons un exemple simple :
    Si je pense que je suis capable de réussir un projet, je vais avoir tendance à me mettre en action, à saisir les opportunités, à persévérer même quand c’est difficile.
    À l’inverse, si je suis persuadée que je n’y arriverai pas, je vais me saboter inconsciemment, éviter les défis, et finir par me dire : “Tu vois, je le savais.”

    C’est ce qu’on appelle une prophétie autoréalisatrice.

    Le cycle Pensées -> Emotions -> Actions -> Résultats :

    Nos pensées génèrent des émotions.
    Les émotions que nous avons influencent nos actions.
    Finalement nos actions créent des résultats.
    Et ces résultats viennent renforcer nos pensées initiales.

    Voici le cycle :

    PenséeÉmotionActionRésultatRenforcement de la pensée

    Et ainsi de suite…

    L’exemple suivant est assez caractéristique :

    • Pensée : « Je ne suis pas assez intéressante pour qu’on me remarque. »
    • Émotion : Malaise, gêne, repli
    • Action : Je me fais discrète, je n’ose pas prendre la parole en réunion ou proposer mes idées
    • Résultat : On ne me sollicite pas et je me sens invisible
    • Renforcement : « Tu vois ? Je n’intéresse personne. »

    Ce type de boucle est très courant, souvent inconscient.
    Il est pourtant possible de le transformer en commençant par observer notre façon de penser.

    L’influence cachée de nos croyances familiales et culturelles :

    Nos pensées ne viennent pas de nulle part. Elles sont souvent le fruit de notre éducation, de notre culture et des expériences que nous avons vécues ou observées.

    Par exemple :
    Si, dans ma famille, on associe le fait d’être bien en chair à la bonne santé, et la minceur à la maladie, je risque – même inconsciemment – de freiner mes efforts pour retrouver la ligne. Mon cerveau cherchera à protéger une identité profondément ancrée.
    Je pourrais même saboter mes bonnes habitudes pour rester fidèle à cette croyance, pourtant limitante.

    Changer sa réalité, c’est aussi oser remettre en question ce que l’on croit vrai “depuis toujours”.

    Une question puissante de Albert Einstein :

    Albert Einstein disait :

    La décision la plus importante que nous prenons est de savoir si nous croyons vivre dans un univers amical ou hostile.

    Cette vision du monde agit comme une lentille à travers laquelle tout est filtré :
    les relations, les événements, les challenges…

    Si je crois que la vie est hostile, je me méfie, je résiste et risque de je sur-réagir.
    A l’inverse, si je crois que la vie est fondamentalement favorable, alors je m’ouvre, je collabore et je fais plus facilement confiance.
    Et je vis des expériences bien différentes.

    L’importance de reprendre le pouvoir sur nos pensées :

    Changer ses pensées, ce n’est pas nier la réalité ni se raconter des histoires.
    C’est choisir en conscience le regard que l’on veut porter sur le monde et les pensées que l’on veut entretenir, cultiver, renforcer.

    C’est une pratique et un entraînement quotidien. Pas une formule magique.
    Mais c’est une source immense de liberté qui nous permet de nous libérer de croyances héritées.

    Et si aujourd’hui, vous choisissiez une croyance qui vous limite pour la remplacer par une pensée plus douce, plus audacieuse ou plus soutenante ? Juste une. Et que vous la laissiez faire son chemin.

  • Un coach doit-il décider pour vous ?

    Pourquoi il est devenu si difficile de faire des choix.

    « Est-ce que vous allez me dire quoi faire ? »
    C’est la question directe — presque déconcertante — qu’une femme m’a posée lors d’un appel découverte.
    Quand je lui ai expliqué que mon rôle n’était pas de décider à sa place, elle a répondu, poliment mais fermement : « Alors je vais chercher ailleurs. »

    Et ce n’est pas un cas isolé. De plus en plus de femmes attendent d’un coach qu’il leur apporte des solutions toutes faites, voire qu’il prenne les décisions à leur place.

    Mais est-ce vraiment ça, le rôle d’un coach ?
    Et surtout, pourquoi choisir est-il devenu un tel poids ?

    L’illusion du choix vu comme un luxe

    Trop de choix tue le choix : le paradoxe moderne de la décision

    Longtemps, avoir le choix a été perçu comme un luxe et un privilège.
    Une victoire, notamment pour les femmes. Pouvoir choisir sa voie, son style de vie, ses valeurs : c’était une conquête.
    Mais aujourd’hui, nous sommes noyées dans un océan d’options. Carrière, santé, parentalité, alimentation, style de vie, tout est sujet à optimisation.

    Le résultat ? Le paradoxe du choix : plus on a d’options, plus on se sent paralysée.

    C’est le syndrome bien connu de Netflix : on passe une heure à chercher LE bon film, pour finalement ne rien regarder, ou regretter son choix après 10 minutes.

    Et cela s’accompagne d’un phénomène très contemporain : le FOBO « Fear Of Better Options » (la peur de rater une meilleure option). Cette angoisse sourde de faire le mauvais choix. De regretter. De passer à côté de « mieux ».

    Choisir c’est renoncer (et ça fait peur)

    C’est là que réside le vrai blocage :
    Choisir, c’est se priver et accepter de renoncer à toutes les autres options. Dans une société qui glorifie la performance et l’optimisation permanente, cela peut sembler insupportable.

    Chaque décision devient un enjeu de réussite personnelle :
    – Et si je me trompais ?
    – Et si je gâchais ma chance ?
    – Et si je passais à côté de « la meilleure version » de ma vie ?

    Alors, par fatigue ou par peur, certaines préfèrent déléguer la décision.
    Et c’est là qu’un glissement s’opère : On se tourne vers un coach en espérant à tort qu’il devienne le « décideur ».

    Le rôle d’un coach : vous redonner votre pouvoir

    Un coach professionnel n’est pas là pour décider à votre place.

    Son rôle ? Vous redonner le pouvoir de choisir en conscience.

    Il vous aide à :
    ✔ Clarifier vos pensées
    ✔ Identifier vos freins
    ✔ Mettre de la lumière sur ce que vous voulez vraiment

    Un bon coach de vie pose les bonnes questions, au lieu de vous donner des réponses préfabriquées.
    Il vous offre un cadre bienveillant et sécurisant où vous pouvez oser :
    – écouter votre propre voix,
    – faire le tri,
    – et avancer avec confiance.

    En décidant à votre place, il vous priverait de l’essentiel : la possibilité de mieux vous connaitre et de vous révéler à vous-même.

    Mais alors, que penser des « coach en décision » ?

    Une nouvelle tendance émerge aux États-Unis et attire l’attention : les « decision coaches ».
    Leur spécialité ? Accompagner spécifiquement dans la prise de décision.

    Et c’est vrai : choisir est devenue une vraie difficulté pour nombre d’entre nous.
    Mais même dans ce contexte, le coach n’est pas censé choisir pour vous.
    Il vous aide à dépasser :
    – la peur du mauvais choix,
    – la pression de la perfection,
    – et la paralysie du « trop plein ».

    Parce qu’en réalité, faire un choix, ce n’est pas trouver la solution idéale. C’est oser faire un premier pas, ajuster, apprendre, recommencer. C’est faire votre propre expérience, et c’est ce qui fait toute la différence.

    En conclusion :

    Vous n’avez pas besoin que quelqu’un décide à votre place.

    Vous avez besoin d’un miroir, d’un soutien, d’un espace de sécurité, clair et stimulant pour que vos envies deviennent des choix assumés.

    Un bon coach de vie vous permet de vivre pleinement vos choix en vous donnant les clés pour les transformer. Parce que, le plus important, c’est ce que vous faite de votre choix quel qu’il soit. Et ça, c’est infiniment plus puissant qu’une réponse toute faite.

  • Confiance en soi, Estime de soi et Image de soi

    Confiance en soi, estime de soi, image de soi : ce que l’on confond trop souvent (et comment faire la différence)

    « Je manque de confiance en moi… »
    C’est une phrase que beaucoup de femmes prononcent — parfois en boucle — sans savoir que, bien souvent, ce dont elles manquent réellement, c’est d’estime de soi.

    Dans cet article, nous allons clarifier les différences entre confiance en soi, estime de soi et image de soi. Trois notions fondamentales pour se sentir bien dans sa peau, oser avancer, et cultiver une vie plus épanouie.

    1- Qu’est-ce que l’estime de soi ?

    L’estime de soi, c’est la valeur que l’on s’accorde.
    C’est la conviction intime que l’on mérite d’être aimée, respectée, écoutée.
    Elle ne dépend ni de nos réussites, ni de notre apparence, ni de ce que les autres pensent de nous.

    L’estime de soi est un socle intérieur. Elle se construit dès l’enfance, mais peut se renforcer à tout âge. C’est ce qui nous permet de nous sentir légitime, même lorsque nous n’avons rien « prouvé » au regard du monde.

    Avoir une bonne estime de soi, c’est savoir au plus profond de nous que notre valeur n’est pas négociable.

    2- La confiance en soi : une compétence qui se construit

    Contrairement à l’estime de soi, la confiance en soi est liée à nos compétences.
    Elle se forge à travers l’action, l’expérience, l’essai-erreur. On ne naît pas avec, on la développe.

    Vous avez peur de vous lancer dans un projet, un nouveau job ou de prendre la parole en public ?
    Ce n’est pas que vous êtes incapable. C’est juste que vous apprenez encore. Vous n’êtes pas nulle, vous êtes en chemin. Et ce chemin est légitime.

    La confiance en soi grandit à mesure que vous osez, même avec le trac, même imparfaite.

    3- Et l’image de soi dans tout ça ?

    L’image de soi, c’est la représentation que nous avons de nous-même.
    C’est ce que nous nous racontons dans notre tête. C’est la façon dont nous nous voyons physiquement, émotionnellement, socialement. Et cette image est profondément influencée par l’estime que nous avons de nous-même.


    Si vous vous accordez peu de valeur, l’image de vous-même risque d’être déformée et tournée vers la critique ou le dénigrement.

    Une bonne estime de soi améliore naturellement l’image que nous avons de nous. Ce qui renforce à son tour notre confiance pour agir. C’est un cercle vertueux.

    4- Pourquoi est-ce si important de faire la distinction ?

    Parce que connaître ces différences vous redonne du pouvoir.
    Si vous pensez manquer de confiance en vous, mais qu’en réalité c’est votre estime de vous qui vacille, alors le vrai travail commence en profondeur :

    • Cultiver la bienveillance envers vous-même
    • Travailler votre discours intérieur
    • Réapprendre à vous valoriser, en dehors de vos performances

    Ce travail sur l’estime de soi crée une base solide, sur laquelle votre confiance en vous pourra ensuite s’élever.

    5- Comment renforcer son estime de soi ?

    Tout part de l’estime de soi, c’est pourquoi il est si important de la renforcer. Voici quelques pistes concrètes pour nourrir une meilleure estime de vous :

    • Arrêtez de vous juger constamment
    • Remarquez ce que vous réussissez, aussi petit soit-il
    • Osez dire non quand c’est juste pour vous
    • Entourez-vous de personnes qui vous élèvent
    • Parlez-vous comme vous parleriez à votre meilleure amie

    Et surtout : rappelez-vous que votre valeur ne dépend pas de ce que vous faites, mais de qui vous êtes.

    En résumé :

    L’estime de soi = C’est la valeur que vous vous accordez, inconditionnellement

    La confiance en soi = C’est la foi que vous avez dans vos compétences et votre capacité à vous en sortir. Elle se construit dans l’action.

    L’image de soi = C’est la perception que vous avez de vous même. Elle est influencée par l’estime que vous avez de vous-même et elle conditionne votre confiance en vous.

    Et si, aujourd’hui, vous décidiez de croire en votre propre valeur ? Le reste viendra naturellement. Le luxe d’être soi, c’est ici que ça commence.


  • Comment vos vêtements influencent vos performances

    Et si vous pouviez vous habiller pour réussir ?

    On a toutes entendu ce proverbe : « L’habit ne fait pas le moine. »
    Mais si, en réalité, il faisait bien plus que ça ?
    Et si la tenue que vous enfilez chaque matin influençait directement votre façon de penser, votre niveau de concentration ou encore votre capacité à passer à l’action ?

    Bienvenue dans le monde fascinant de l’enclothed cognition.

    1- L’effet des vêtements sur le mental : ce que dit la science :

    Dans les années 2010, deux chercheurs américains, Adam & Galinsky, ont mis en lumière un phénomène étonnant et désormais bien connu : ce que vous portez influence votre façon de penser et de vous comporter.

    Ils ont mené une étude avec un vêtement tout simple : une blouse blanche.

    Résultat :

    • Ceux qui pensaient porter une blouse de médecin étaient plus concentrés.
    • Ceux qui pensaient porter une blouse de peintre l’étaient beaucoup moins.

    Même vêtement.
    Effets radicalement différents.
    Pourquoi ? Parce que la symbolique attachée au vêtement active un état d’esprit spécifique. Tout dépend de nos représentations mentales.

    C’est ce que l’on appelle : l’enclothed cognition, ou cognition habillée.

    2- Vêtement, image de soi et performance :

    Ce que vous portez chaque jour influence à la fois :

    • La façon dont vous vous percevez
    • La posture intérieure que vous adoptez
    • La manière dont les autres vous perçoivent

    Ce n’est pas seulement une question d’apparence. C’est une énergie que vous dégagez, une manière d’habiter votre vie avec plus de conscience.

    Une robe ajustée, un pantalon bien coupé, une chemise structurée, peuvent activer en vous des qualités comme l’assurance, la créativité, l’élan. A l’inverse, un vêtement informe peut vous faire glisser dans l’auto-sabotage voir le laisser aller.

    3- S’habiller pour incarner la femme que vous voulez être :

    Et si vous faisiez de votre dressing un levier de transformation personnelle ?
    Pas besoin de tout changer. Il suffit souvent de poser un autre regard sur ce que vous avez déjà.

    Voici un exercice simple à tester :

    Pendant 7 jours, engagez-vous à ne porter que des tenues dans lesquelles :

    • Vous vous sentez en forme, confiante, alignée
    • Vous avez envie d’agir, de créer, de vous montrer
    • Vous vous tenez plus droite, plus vivante

    Observez ce que cela change dans vos journées.
    Parfois, un simple changement de tenue peut réaligner une posture intérieure et relancer une dynamique positive.

    4- S’habiller, c’est aussi un acte de transformation :

    Et si votre style devenait un outil au service de votre vitalité, de votre bien-être et de vos ambitions? S’habiller n’est pas un détail. C’est un acte d’ancrage, un rituel quotidien qui peut soit nourrir votre vitalité, soit l’éteindre.

    Et si chaque jour, vous faisiez le choix de vous habiller pour vous soutenir dans vos projets, vos émotions, vos ambitions ? Prenez soin de votre image de soi. Elle est le reflet de l’énergie que vous semez dans votre quotidien.

    Et vous ? Quels sont les vêtements dans lesquels vous vous sentez la plus vivante, la plus en confiance ?